L'histoire :
Un système qui permet d'éliminer impunément n'importe qui. Un juge déjà mort qui décide de sauver l'innocent qui l'a pourtant assassiné. Le terrible secret de la lance de Longimus qui servit à s'assurer de la mort du Christ. Un notable assassiné selon un rite vaudou dans un bureau clos... Bienvenue au Green Manor !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Rapportées par Thomas Below, les trépidations de la bourgeoisie anglaise en cette fin de 20e siècle regorgent d'assassins aux gants blancs. Après Assassins et gentleman, premier volume de la série qui avait pour maxime « Le meurtre n'est rien sans un peu d'élégance » , voici De l'inconvénient d'être mort et « C'est le savoir-vivre qui distingue l'assassin de sa victime ». Avec des devises comme celles-là, on conviendra parfaitement d’être tombé dans le pur humour noir, élégant et british, servi au five o'clock avec une tasse de thé empoisonné. Quelques petits meurtres entre gentlemen et autant d'histoires policières bien ficelées qu'aurait pu écrire Sir Arthur Conan Doyle, le célèbre papa de Sherlock Holmes. Sauf qu'ici, c'est Fabien Vehlmann au scénario qui s'y est collé, à la recherche du meurtre impossible ou parfait, de l'assassin improbable ou non-condamnable. Vous aimez le Cluedo ? En compagnie des membres du manoir, vous apprendrez que le crime peut être un art noble, doublé d'un passe temps fort distrayant.