L'histoire :
Avec l’aide de son ami Bernard, journaliste, et grâce à son reportage vidéo sur la tentative d’assassinat de Maximilien commanditée par la multinationale Flirgon, Ewilan et Salim gagnent enfin leur première bataille. Maintenant qu’elle a récupéré presque toutes ses forces, Ewilan peut se déplacer instantanément d’un endroit à l’autre. Elle ramène son ami Bernard chez lui, dans sa famille, et lui demande avant de repartir, d’enquêter sur l’histoire de l’institut dans la forêt de Malaverse. Quelques jours après l’affaire de la médiatisation de Maximilien, Ewilan récupère presque toutes ses forces. Elle pourra bientôt faire le grand pas avec Salim et rentrer à Gwendalavir. Mais avant, elle se fixe une dernière mission, une dette à régler, celle de sauver les enfants prisonniers de l’institut et de son laboratoire. Elle annonce à Maximilien son départ dès le lendemain. Mais auparavant, ils vont passer ensemble une dernière soirée de fête. Elle profite de l’occasion pour expliquer à Salim son intention de retourner à l’institut afin de délivrer les enfants qui servent de cobayes. Mais surtout, elle veut en finir avec Éléa Ril’Morienval et son Ts’lich…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Le second tome des nouvelles aventures d’Ewilan et de Salim est toujours réalisé par Lylian, Laurence Baldetti et la dessinatrice italienne Cécilia Formicola. Comme pour le précédent tome, l’histoire se passe dans le monde réel. Ewilan revient de loin, après sa séquestration à l’institut. Le scénariste Lylian renverse la situation du premier tome très difficile pour Ewilan et lui fait récupérer ses forces afin de régler ses comptes avec l’institut. Elle va donc devoir affronter la terrible Éléa Ril’Morienval et son Ts’lich, créature redoutable aux lames tranchantes. Evidemment, elle va devoir aussi prendre des risques pour réussir... mais c’est sans compter sur l’aide heureuse de ses amis de Gwendalavir. On n'en dira pas plus, évidemment. Cet album s'annonce cela dit sous de meilleurs hospices que le tome précédent. Lylian ouvre d’ailleurs une porte pour la suite des aventures d’Ewilan au travers du jeune garçon Illian et de la cité inconnue d’où il est originaire. Au dessin, une collaboration à quatre mains, avec Laurence Baldetti et Cécilia Formicola, comme pour le premier tome, assurent un graphisme de grande qualité. Leur trait semi-réaliste colle parfaitement avec l’univers de la série. Les mises en scènes sont fluides et dynamiques, assurant un visuel plutôt agréable.
