L'histoire :
Alors que c’est encore les vacances, Léonie fait réviser l’orthographe, le calcul et la géographie à Jennifer. A l’école de Léonie Gratin, le rythme des interrogations est quasiment plus soutenu qu’à Saint Potache. Jennifer se montre reconnaissante à l’égard de son amie car, grâce à elle, son année est sauvée. Après une après-midi studieuse, les deux jeunes filles s’accordent un peu de bon temps en faisant du shopping. Jennifer s’engouffre dans un magasin de vêtements. Léonie la suit, même si elle aurait préféré se rendre au sein d’une papèterie qui prépare la rentrée. Jennifer essaie toutes les fringues qui lui passent sous la main. La jeune fille est ravie car avec ces nouveaux vêtements, sa rentrée va être des plus réussies. Le 1er septembre, Léonie est prête bien avant l’heure, alors que son amie n’est pas pressée d’arriver en avance à l’école. C’est même un calvaire…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Léonie Gratin, la voisine de classe de Ducobu, a désormais sa série. Cette très bonne élève est souvent isolée et peine à se faire des amies, car elle n’a qu’une obsession : être toujours la meilleure de sa classe. Dans ce second opus, où Ducobu est davantage présent, deux nouvelles têtes font leur apparition : Jennifer, une jeune fille qui se fait aider par Léonie et qui se montre plutôt bienveillante vis-à-vis de la championne des fayotes ; et Anissa, une petite nouvelle dont les résultats sont à la hauteur de ceux de Léonie. Une compétition va s’instaurer entre les deux génies de Saint Potache, donnant lieu à des situations qui prêtent à sourire (ou pas). A l’occasion de quelques gags, on retrouve également Léonie bébé. Ce spin-off utilise les mêmes ressorts humoristiques que la série originelle, avec des gags assez inégaux. Même si Léonie n’a pas les mêmes qualités ou défauts que Ducobu, les lecteurs ne seront pas dépaysés et risquent même de trouver des similitudes dans la teneur des blagues, malgré quelques tentatives pour rendre cette bonne élève plus sympathique. L’humour développé par Zidrou (ancien instituteur) y est soft et accessible à un très large public.
