L'histoire :
James Rhodes fait de nouveau partie des forces armées et répond désormais aux ordres de Babbage, un haut gradé qui ne porte pas Tony Stark dans son cœur mais qui souhaiterait récupérer tout de même les dernières technologies fabriquées par le génie milliardaire. Rhodey reçoit une mission un peu spéciale. Il doit tout mettre en œuvre pour dénicher Palmer Addley, mais le problème est que ce dernier est mort ! Cet individu était un agent de la DARPA qui a provoqué pas mal de remouds dans son organisation. Depuis sa disparition, des attentats sans aucuns lien majeur se produisent et sur les lieux les mots "Palmer Addley est mort" sont inscrits. Dernièrement, un nouvel attentat a eu lieu en Iraq. Rhodes sollicite l'aide de Suzi Endo, une spécialiste. Cette dernière n'est pas forcément ravie de revoir celui avec qui elle a eu une relation par le passé, mais elle accepte de l'aider. Très vite, elle trouve l'origine du problème. War Machine vole donc vers la Russie. Là-bas, il va subir un grave traumatisme...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Eternel ami de Tony Stark et faire valoir de ce dernier, James Rhodes alias War Machine n'a pas vraiment bénéficié de nombreux titres à son nom. Si l'on oublie le récent Cœur de fer, l'arrivée d' Avengers Extra permet de remettre en avant Rhodey. Ce premier numéro contient les six épisodes d'Iron Man 2.0 scénarisé par Nick Spencer, un des auteurs du moment. L'histoire pourrait paraître simple de prime abord mais se révèle étonnamment prenante dans sa première moitié. Entre tension et rebondissement, l'ensemble est agréable à suivre malgré des dessins un peu trop irréguliers. La seconde partie nous laisse un peu dans l'expectative et ne convint pas totalement, si ce n'est par les dessins d'Ariel Olivetti. Dommage que le scénariste ait opté pour l'option Iron Fist et Monkey King... Mi-figue mi-raisin, cette première rasade fera plaisir au fan de War Machine mais il faudra sûrement attendre encore un peu avant que ses aventures ne conviennent à tous.
