L'histoire :
Ce numéro contient :
- Iron Man (vol.5) (épisode 10) : Tony Stark est retenu prisonnier par le mercenaire Tête de mort, qui le force à regarder des vidéos de son père en compagnie de l'enregistreur 451...
- Guardians of the galaxy : Tomorrow's Avengers (épisode 1) : Peter Quill parcourt la galaxie pour recruter une équipe.
- Nova (vol.5) (épisode 5) : Sam Alexander est le nouveau Nova et comme il est le fils du précédent porteur du casque, il récupère aussi ses anciens ennemis dont le redoutable Titus...
- Fantastic Four (vol.4) (épisodes 7 et 8) : Les Fantastic Four poursuivent leur périple à la recherche du procédé pouvant leur éviter une mort prochaine...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La revue Iron Man fait la part belle aux séries galactiques depuis que Tony Stark a rejoint les Gardiens de la galaxie. Ce mois-ci, on retrouve le milliardaire prisonnier et apprenant que l'enregistreur 451 aurait eu une incidence sur sa vie ! L'épisode n'est pas une grande réussite. Kieron Gillen a déjà écrit bien mieux et l'on a hâte de passer à autre chose. Dale Eaglesham offre par contre une jolie prestation avec des planches soignées et réussies. Ensuite, c'est avec une déception certaine que l'on suit le nouveau chapitre de Guardians of the galaxy. Brian Michael Bendis revient sur la formation de cette équipe galactique. L'impression que la série n'avance pas est particulièrement présente et les dessinateurs qui se succèdent sur cette vingtaine de planches font presque peine à voir. Michael Avon Oeming, Ming Doyle et Mike Del Mundo ont des styles si différents que les enchainer à la lecture est difficile. Heureusement, la revue nous éclate avec Nova qui n'a cessé de s'améliorer au fil des épisodes. Il s'agit malheureusement du dernier du tandem Loeb-McGuinness. Espérons que Zeb Wells et Paco Medina nous raviront autant. De son côté, Matt Fraction livre deux chapitres diamétralement opposés, l'un dispensable et l'autre plus convaincant. Mark Bagley est lui aussi sur courant alternatif, passant du moyen au correct. La revue s'offre donc un numéro peu inspiré, mais rassurons-nous ce n'est que temporaire !
