L'histoire :
Ce numéro contient :
- Uncanny Avengers (vol.2)(épisode 5) : La Sorcière Rouge et Vif-Argent se sont rendus auprès du Maître de l'Evolution pour apprendre la vérité sur leurs origines et leur véritable lien avec Magneto.
- Captain America & Mighty Avengers (épisodes 8 et 9) : Steve Rogers a réuni autour de lui plusieurs héros dont les Mighty Avengers. Il les avertit que la fin du monde est proche. Tous les univers s'entrechoquent et se détruisent les uns et les autres. Or, le tour de la Terre est bientôt venu...
- All-New Captain America : Fear Him (épisodes 3 et 4) : Sam Wilson et Nomad traquent l’Épouvantail jusque dans son antre. Là-bas, il manipule de nombreuses personnes pour se défendre, dont des enfants...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La seconde série de revue Uncanny Avengers touche à sa fin avec ce onzième numéro. En effet, avec l'arrivée du crossover Secret Wars, tous les titres de Marvel sont automatiquement terminés. Si cela est plus ou moins bien fait par certains auteurs, on s'interrogera sur les capacités de Rick Remender à se caler sur la continuité tant la série éponyme alterne ces derniers temps des épisodes moins réussis. Il faut dire que depuis AXIS, l'auteur n'arrive plus à trouver l'inspiration qui rendait sa série si intéressante jusqu'ici. Au final, la série se termine avec de nombreuses intrigues encore en cours. Une déception qui ne touche pas les dessins de Daniel Acuña, toujours aussi impeccables. Captain America & Mighty Avengers souffre un peu aussi de cette fin précipitée, même si Al Ewing gère bien mieux l'ensemble avec notamment un décompte du temps restant avant l'impact. Luke Ross assure au niveau de ses planches. Enfin, la revue se termine avec les deux derniers épisodes d'All-New Captain America : Fear Him. Si l'histoire n'est pas mauvaise en soit, la partie graphique est juste ignoble. Szymon Kudranski se débrouillait très bien sur Spawn, mais là, rien ne va. Les personnages sont mal dessinés, il y a des problèmes de proportions et globalement c'est très moche et indigne du niveau du polonais. La revue Uncanny Avengers s'achève donc sans éclat. Tant pis pour nous.