L'histoire :
Au sommaire de ce numéro (kiosque) :
- Wolverine (vol.5) #13 : Killable, part 6 (Vulnérable) : Infecté par un virus venu du Microvers, Wolverine n'est plus que l'ombre de lui-même, car son facteur d'auto-guérision a été anéanti par l'agent pathogène. Mystique et Dents de Sabre lui ont tendu un piège dans lequel il s'est précipité...
- Wolverine : Japan's Most Wanted HC (L'homme le plus recherché du Japon) : Logan connaît Tokyo depuis une paye. Cela remonte à la Seconde Guerre Mondiale. La ville était en cendres. Le mutant n'a pour autant pas le temps de penser au passé, car il affronte une bande de Ninjas appartenant à la Main...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Première remarque : ce numéro de juillet ne comporte pas d'épisodes de Wolverine & the X-Men. La série écrite par Jason Aaron touchera à sa fin au numéro 42. On la retrouvera le mois prochain, comme tête d'affiche de la revue. On retrouve par conséquent Vulnérable; le run de Paul Cornell et Alan Davis, qui met un scène un mutos bien affaibli. En effet son pouvoir autoguérisseur est en berne depuis qu'il a été infecté par un virus venu du Microvers. Et comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, le voici désormais en fâcheuse posture, puisque Dents de Sabre lui inflige une correction que vous devinerez des plus violentes. On ne va pas tuer un suspens qui n'existe pas, mais ce n'est toujours pas ici qu'on assistera à la mort du Griffu, qui, on ne s'en plaindra pas, se relèvera clopin-clopant de cette énième confrontation avec son meilleur ennemi. Vulnérable, certes, bien éclopé, effectivement, mais toujours en vie !!! La suite du mensuel introduit une nouvelle série : Wolverine : Japan's Most Wanted . Pour l'heure, il n'y pas de quoi crier au scandale, mais le contexte japonais ne fait pas non plus franchement dans l'originalité. Les yakuzas sont au programme, comme on pouvait s'y attendre, assortis de la Main, d'un Samouraï d'Argent nouvelle mouture et de Victor Creed (hé oui, encore lui ! ). On reste donc dans l'attente du développement de l'intrigue écrite à deux mains par Jason Aaron et Jason Latour, pour se prononcer plus formellement. Mais on peut déjà remarquer que le visuel concocté par Paco Diaz, sur une mise en page d'Yves Bigerel, donne satisfaction. Un bon petit numéro !
