L'histoire :
Ce numéro contient :
- X-Men (vol.4) (épisode 1) : Jubilé a trouvé un bébé un peu particulier, qu'elle pense être un mutant. Elle se rend à l'école Jean Grey pour y retrouver ses amis. Au même instant, John Sublime arrive là-bas et prévient les X-Men d'un danger...
- Astonishing X-Men (vol.3) (épisode 58) : Warbird est au Caire où elle traque le dernier survivant Fianden, une race extraterrestre dangereuse...
- Uncanny X-Force (vol.2) (épisode 4) : Bishop traque toujours la petite Ginny, une mutante dont les pouvoirs viennent de se manifester. Les X-Force et Spirale tentent de la protéger.
- Age of Apocalypse (épisodes 9 et 10) : Wolverine alias l'Arme Oméga dirige l'ère d'Apocalypse de façon radicale. Seuls les rebelles connus sous le nom d'X-Terminés cherchent à l'éliminer...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce troisième numéro d'X-Men Universe était guetté par de nombreux fans et pour cause, la nouvelle série X-Men de Brian Wood et d'Olivier Coipel y fait ses débuts ! Avec la double ration le mois dernier de Savage Wolverine, la série de Frank Cho est absente et laisse donc à la nouvelle version du titre consacrée aux mutants le soin d'ouvrir le bal. Les X-Men s'offrent des débuts plutôt intéressants. Brian Wood a concocté un récit dans la lignée de ceux qu'il a précédemment scénarisés. La différence principale est que c'est la gente féminine qui a la vedette. Un véritable vent de fraîcheur dans ce monde de brute qu'est parfois celui des super héros ! Les dessins sont très bons, comme d'habitude avec Coipel mais pour l'instant, on attend vraiment la suite pour mieux se prononcer définitivement sur la qualité de l'histoire. Astonishing X-Men se poursuit et devient de plus en plus inintéressant. Marjorie Liu ne fait pas décoller la série qui sombre à mesure que les épisodes se succèdent. La série Uncanny X-Force est heureusement plus convaincante et l'on assiste à la conclusion d'une première saga très correcte. Un titre sur lequel on peut compter. Enfin, Age of Apocalypse a droit à deux épisodes. David Lapham parvenait à insuffler quelque chose de très intéressant dans les débuts mais progressivement, l'intérêt se dilue. Heureusement, Roberto de la Torre assure. Le bilan de ce numéro est pour le moins contrasté, entre deux bons titres et d'autres plus dispensables. A lire en partie !
