L'histoire :
L'empire a connu de nombreuses pertes, mais Frohlich espère bien avoir l'occasion de changer la donne. Depuis que le nécromant a été capturé, l'espoir est en effet de mise. Si celui-ci ne veut rien avouer, dans un premier temps, il commence à lâcher quelques informations par la suite. Il leur apprend comment d'humain, il devint l'esclave d'un puissant vampire. Il leur explique même comment il a manipulé les skavens. Mais alors qu'il poursuit ses explications, son maître fait son apparition, assis sur le dos d'un dragon mort vivant. Alors que son camp est attaqué et que ses hommes sont massacrés, Frohlich s'enfuit avec sous le bras le coffret contenant la couronne des skavens. Le vampire se rapproche alors de son nécromant. Alors que ce dernier lui supplie de ne pas le tuer, il lui confie que le coffret contient un bijou pouvant plaire à son maître. Frohlich rejoint d'autres soldats et s'apprête à livrer une lutte sans merci...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce tome conclut le diptyque du tandem Gillen/Harris et à n'en point douter, celui-ci fera sûrement date dans la saga des adaptations des jeux Games Workshop. Les différentes séries n'ont certes jamais brillé par leur qualité, mais là on touche le fond. On ne voit pas quels points positifs trouver à ce nouveau volet. Déjà, le scénario est aux abonnés absents... les rebondissements peuvent se compter sur les doigts d'une main, à laquelle il manque des doigts. Auraient-ils été dévoré par les morts-vivants contenus dans ce tome ? Les dessins, si l'on peut parler de dessins, sont proprement hallucinants. Le croisement des techniques employées pourrait faire penser qu'on est en face d'un travail amateur, et encore de nombreux amateurs ont un niveau bien meilleur. Une célèbre expression nous dit que toutes les bonnes choses ont une fin. Dans le cas présent, on se réjouit de constater que les mauvaises se terminent aussi.