L'histoire de la série :
Guts est surnommé le guerrier noir partout où la rumeur peut se répandre. Il porte une épée aussi grande que lui, son œil droit est crevé et sa nuque porte une étrange marque maudite. Son bras gauche amputé a été remplacé par un bras mécanique qui lui a été fabriqué afin d’assouvir sa vengeance. Depuis sa plus tendre enfance, Guts est malmené par le destin. L’enfant qui naquit dans une mare boueuse fut recueilli par un guerrier du nom de Gambino, qui l’entraîna au combat avant de trahir sa confiance. Guts erre ensuite quelques années en devenant mercenaire, mais c’est en faisant la rencontre de Griffith et de la troupe du faucon que sa vie va changer. Il y fera la rencontre de nombreux compagnons, et de Casca, la femme dont il tombera amoureux. Mais Griffith, en découvrant une béhérit, un item maudit, trahira finalement ses amis et deviendra un des God hand, un Dieu destructeur et infernal, détruisant tout ce en quoi croyait Guts. Dès lors, ce dernier ne vivra que pour se venger de ce traître qu’il considérait comme son ami.
L'histoire :
Guts et ses compagnons progressent comme ils peuvent sur l’île des elfes, mais de nombreux monstres se dressent sur leur chemin. Ils parviennent à chaque fois à s’en défaire assez facilement mais le flot ne cesse jamais. Des sorciers les observent et décident d’y aller plus franchement. Ainsi, une poupée de feu géante vient à la rencontre du groupe de Guts. Heureusement, grâce à son énorme épée, Guts parvient à la terrasser mais cela met le feu au champ alentour. La sorcière à l’origine de ce maléfice est mécontente mais ses camarades et Schierke interviennent pour la raisonner...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Même s’il y a quelques monstres sur le parcours de Guts et les siens, l’action est reléguée au second plan dans ce volet. Au lieu de cela, on rencontre le roi des elfes et tout son peuple, dans des décors où la nature est reine. L’univers représenté et ses créatures sont nettement plus doux et chaleureux que ce qu’on a eu l’habitude de voir jusqu’ici : aussi, cette atmosphère paisible offre une bouffée d’air frais bienvenue, tant pour le lecteur que pour les personnages (même Guts se laisse aller à sourire !). On a également bon espoir que Casca retrouve la raison, même s’il y a encore des choses à faire ce de côté. Toutefois, l’ensemble est apaisant, presque poétique et féérique, et cela donne, pour une fois, du baume au cœur. Une surprise qui réchauffe !