L'histoire :
Krilin a été mis KO par le commandant Blue de l’armée du Ruban Rouge. Heureusement, Son Goku arrive à son tour dans la grotte et sauve son ami in extremis, mais Blue utilise son pouvoir surnaturel pour l’hypnotiser et l’empêcher de bouger. Son Goku ne peut plus se défendre et se retrouve avec le canon d’un fusil à pompe face au visage. C’est alors qu’une souris passe devant Blue et le fait paniquer. Sa concentration perdue, Blue laisse Goku reprendre le contrôle de son corps et se fait assommer. La grotte commence à s’écrouler : Bulma et Krilin partent devant pour retourner au sous-marin, tandis que Son Goku plonge dans la mare où se trouve la Dragon Ball. Bulma et Krilin sont prêts à repartir et la grotte menace de plus en plus de les ensevelir définitivement mais Goku ne revient toujours pas...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Après l’affrontement contre Blue de l’armée du Ruban Rouge, Goku repart sur les routes en direction d’une nouvelle dragon ball. Le voilà à la tour Karin où il liquide rapidement un nouveau commandant, avant de voir surgir devant lui un adversaire de taille : Tao Pai Pai, le tueur à gages le plus réputé au monde. Ce dernier, embauché par l’armée du Ruban Rouge, va le laisser pour mort avant de repartir avec une partie des dragon balls. Heureusement, celle qui était cachée dans son kimono a sauvé Goku, et celui-ci décide d’escalader la tour avant que Tao Pai Pai ne revienne chercher la dernière boule, car la légende raconte que celui qui en attendra le sommet verra sa force décuplée... Ce troisième opus des aventures SD et accélérées de Son Goku se concentre sur la fin du cycle contre l’armée du Ruban Rouge. Grâce à l’adversaire de taille qu’est Tao Pai Pai, on est un peu plus pris par la lecture, même si on regrette que le côté potache disparaisse presque totalement cette fois derrière l’aventure. Avec des phases d’action plus intenses, les graphismes sont eux aussi plus dynamiques et font très bien le job. Comme pour les deux précédents, on constate que cet opus est moins bon que ce qu’il reprend (le contraire eut été difficile) et donne surtout envie de se replonger dans la série d’origine. Rappelons qu’il s’agit simplement ici de redessiner toute la série avec des personnages miniatures, en version accélérée et en couleurs. Même si la lecture est sympathique, on s’interroge toujours sur l’utilité d’un tel projet. D’un intérêt tout relatif, Dragon ball SD reste donc plutôt à destination des plus gros fans de la série.