L'histoire :
Les dernières images des vidéos de surveillance de Deadman Wonderland montrent Toto et Shiro en train de tout ravager dans la prison, juste avant que n’ait lieu le séisme. Cela fait maintenant deux mois que la catastrophe a eu lieu et Makina explique aux membres du gouvernement qu’elle est en train de préparer des contre-mesures pour stopper les deux jeunes gens. De leur côté, les deadman sont en liberté mais ont bien du mal à se remettre des évènements, notamment Ganta qui reste dans un orphelinat où il ne cesse de penser à Shiro. Découvrir que cette dernière est en réalité l’homme en rouge a été un terrible choc pour le garçon. Toutefois, lorsque Karako vient le trouver pour le compte de Makina, Ganta accepte de se rendre à une réunion concernant Deadman Wonderland...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Comme prévu, un nouveau cycle s’ouvre ici et c’est sans surprise que l’on constate qu’il est aussi mauvais que son prédécesseur. Dans un premier temps, on découvre ce que sont devenus les personnages principaux : vivant désormais une vie « normale », tous sont tristes et ont du mal à se remettre de ne plus être à Deadman Wonderland. Non seulement on a du mal à croire que la liberté soit si pénible à supporter, mais ce qui suit est encore plus navrant. En effet, pour vaincre Toto et Shiro restés à la prison, tous les anciens deadman acceptent de s’y rendre : ils apprennent sur le trajet ce qu’ils vont devoir faire afin que l’on comprenne le but de leur quête mais cela est franchement long et peu intéressant. Enfin, les choses ne traînent pas car, une fois à Deadman Wonderland, Ganta et les autre découvrent des objets utiles, font face aux deux méchants et on a aussi le droit à des révélations. Toutefois, ces dernières ne sont pas croustillantes et s’avèrent même risibles, sans parler du fait que leur impact est limité (on a du mal à croire que Karako soit choquée qu’un liquide soit fait à base de chair humaine après tout ce dont elle a été témoin auparavant). Bref, un nouveau cycle dans la droite lignée du précédent : mauvais et consternant.