L'histoire :
Les travaux ont bien avancé et, désormais, la maison familiale de Chôko est reconstruite. La jeune femme, son frère et ses parents s’apprêtent donc à déménager mais cela n’enchante pas vraiment Chôko : celle-ci avait pris goût à la vie commune avec Dômoto. Cependant, lui ne semble pas affecté par la situation et, après avoir ramené la jeune femme dans sa nouvelle habitation, lui demande de lui rendre la clé de l’appartement. Cela fait un choc à Chôko qui obtempère à regret. Le soir, après la journée de travail, Dômoto prend une douche mais, en sortant de la salle de bain, il se rend compte que la présence de Chôko lui manque. C’est à ce moment que la jeune femme surgit de derrière le canapé : elle avait gardé la clé de l’appartement dans sa poche et lui en avait donné une autre. Ils conviennent alors que la demoiselle peut garder la clé pour rendre visite à son petit ami, domestique et supérieur, quand elle le désire. Puis, au moment où elle s’apprête à rentrer chez elle, Dômoto la retient : serait-il prêt à faire l’amour une troisième fois ?
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce sixième volume nous montre comment Chôko et Dômoto se rapprochent encore plus avant que les problèmes arrivent. Juste après qu’ils aient fait l’amour une troisième fois, les deux tourtereaux vont se montrer complètement gagas l’un de l’autre, mais la vie quotidienne va leur jouer des tours. D’abord, la maison de Chôko est reconstruite et sa vie commune avec Dômoto doit donc prendre fin, puis ce sont leurs collègues qui s’y mettent : Chôko va s’attirer les faveurs du nouveau président alors qu’elle tentait de l’éloigner de Makie qui a déjà un petit ami, pendant que Dômoto fait revenir son ex au travail. Les personnages secondaires sont donc un peu plus mis à l’honneur, les deux nouveaux permettant par ailleurs de relancer un peu l’intrigue. Pour ce qui est des graphismes, ceux-ci sont toujours aérés mais corrects, avec toujours une diminution du nombre de scènes coquines. Au final, l’intrigue ne vole certes jamais très haut, mais au final cela correspond au ton léger du récit et permet à la lecture de rester divertissante.