L'histoire :
Chôko se présente à l’infirmerie car elle s’est fait piétiner sa main. Le médecin pense alors qu’elle est tombée sur le quai de la gare mais la jeune femme lui avoue en fait être malmenée par Kaori qui lui a ordonné de rompre. Un peu plus tard, alors que Chôko se fait une fois de plus embêter par Kaori, Dômoto arrive mais celui-ci ne jette même pas un œil à sa petite amie. Puis, Kaori annonce qu’elle a réservé pour la soirée un dîner au restaurant et une chambre à l’hôtel. Le soir, folle de rage, Chôko se rend à hôtel en question mais la réceptionniste refuse de lui donner le n° de chambre de Kaori. C’est alors qu’arrive Ootaki : grâce à ses relations, ce dernier arrive facilement à avoir les renseignements que souhaite Chôko. La jeune femme va donc devoir le suivre pour s’assurer de la fidélité (ou non) de son petit ami, serviteur et employeur...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Précédemment, on avait pu faire la connaissance de Kaori et Ootaki et ceux-ci se montrent particulièrement dangereux ici. Pour la première fois, le couple formé par Chôko et Dômoto est en péril avec une ancienne petite amie qui arrive à s’accaparer un peu trop facilement Dômoto et Ootaki qui est prêt à tout pour recevoir une réponse positive à sa demande en mariage. Certes, on se doute facilement de l’issue de ces évènements mais il n’empêche que la narration est suffisamment bien construite pour nous faire trembler pour les personnages. Malgré tous les ennuis que rencontre Chôko, l’humour est heureusement toujours de la partie, la perversion de Dômoto ne semblant pas connaître de limite. Mis à part un manque de scènes osées, les graphismes sont toujours agréables à l’œil, à la fois légers mais efficaces. Cet avant-dernier volume est donc fort sympathique et on espère qu’il en sera de même pour l’ultime volet.