L'histoire :
Comme d’habitude, cet album contient deux histoires :
- Fréquence interdite : Bart joue avec la télécommande de la télévision. En zappant, il tombe sur une chaîne à louer. Avec Lisa, ils se mettent en tête de réunir leurs économies et de lancer leur propre programme. Pour 16 dollars et la moitié d’un paquet de chewing-gums, ils peuvent enfin se lancer ! Leur première émission est faite avec les moyens du bord, mais elle attire déjà de nombreux spectateurs lassés des programmes abrutissants des autres chaînes. L’audimat va croissant, de jour en jour... et commence à sérieusement inquiéter les animateurs concurrents…
- Le gros, la brute et le président : Wolfcastle se rend au siège de la CIA afin de rencontrer le président des USA. Ce dernier lui confie une mission périlleuse : il doit faire perdre du poids aux habitants de la ville de Springfield. L’acteur se retrousse les manches et élimine tous les ingrédients et articles gras vendus en ville. Les premiers résultats se font rapidment remarquer. Un seul ne semble pas vraiment emballé à cette idée : Homer Simpson…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Depuis le début des années 90, les Simpson sont l’une des familles les plus populaires du petit écran. Un tel succès a forcément généré des produits dérivés, dont une version comics, publiée à plusieurs reprises en France, de façon assez chaotique. Les éditions Jungle ont quant à eux décidés de changer le format et de proposer deux aventures par album, au format BD classique. Dès lors, le succès a été au rendez-vous et la série fait régulièrement partie des meilleures ventes : 2 BD des Simpson se vendent chaque minute en France ! Dans ce nouvel opus, nous retrouvons deux histoires. Dans la première, Bart et Lisa créent une chaîne de télé qui fait de l’ombre aux ténors du petit écran. La seconde envoie Homer au régime, ce qui s’annonce compliqué... Avec un humour très proche de celui de la série animée, les récits sont plutôt sympathiques, mais ne se veulent pas aussi poussés. Les dessins sont bien adaptés, eux aussi, fidèles au chara-design de Matt Groening. Rien d’exceptionnel, donc, mais de quoi combler les fans les plus assidus des Simpson.