L'histoire :
C.Montgomery Burns et Smithers sont au cinéma en train de regarder un documentaire indépendant sur le rôle néfaste du directeur de la centrale nucléaire et de son père avant lui. Conspué par les spectateurs, Burns quitte précipitamment la salle. Au départ, il souhaite se venger mais il apprend que le réalisateur du documentaire est mort lors du tournage d'un second film où il mangeait au Krusty Burger tous les jours pendant un mois. Avec un pot de vin conséquent, Burns parvient à convaincre la maire Quimby d'ouvrir un musée en l'honneur de sa famille. L'élu se demande qui va bien pouvoir y aller car jusqu'ici seul Lisa Simpson visitait le musée. Des travaux démarrent très vite, obligeant certains trajets routiers à être modifiés. Alors qu'il écoute les consignes d'un animateur radio, Homer perd du temps et rentre en rage chez lui...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Bénéficiant d'une énorme côte de sympathie, les Simpson se rappellent régulièrement à nous par le biais d'histoires toujours délirantes en bande dessinée. Dans Club privé, nous avons droit à deux récits assez simples et qui, contrairement à d'habitude, fonctionnent un peu moins bien. En effet, les deux histoires se dispersent un peu trop, au point que les ressorts humoristiques manquent d'impact. L'exemple le plus frappant concerne le premier récit qui part tout de même d'une salle de cinéma pour finir par une critique des radios ou télévisions faisant la circulation. Ian Boothby a écrit de nombreux épisodes des Simpson mais il rate sa cible dans le cas présent. Heureusement, Phil Ortiz assure au niveau des dessins en proposant des planches très fidèles à l'animé. Un tome moins bon mais pas catastrophique non plus.