L'histoire :
Ce numéro contient :
- U.S. Avengers (2017) (épisodes 4 et 5) : Suite à une expérience dirigée par le général Robert Maverick, le caporal Todd Ziller s'est transformée en une créature incontrôlable : le Kaiju américain !
- Mighty Thor (2016) (épisode 20) : Les chemins de Jane Foster et d'Odinson se croisent de nouveau. Cette fois-ci, la vérité est de mise mais également l'obtention d'un autre marteau...
- Captain America: Sam Wilson (2015) (épisodes 19, 20 et 21) : Sam Wilson est un peu perdu. Les Americops créent un vrai malaise et s'il n'est pas d'accord avec les méthodes de résistance de Rage, il les partage de plus en plus...
- Occupy Avengers (2017) (épisode 5) : Hawkeye et ses amis débarquent à Dungston, une petite ville à l'apparence assez clame. À l'apparence seulement...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Avec toujours énormément de séries en cours de parution, la vie des revues kiosques publiées par Panini Comics change régulièrement. Ainsi, Avengers Universe est un magazine bimestriel qui va réunir différentes séries mettant en scène des héros iconiques de la Maison aux idées. Ainsi, nous avons la suite d'U.S. Avengers, la série d'Al Ewing qui était une continuité de sa version des New Avengers. Pas forcément toujours très emballant, le titre se présente cette fois-ci sous un angle bien plus décalé et spectaculaire. L'humour est omniprésent avec une multitude de fausses couvertures et un Kaiju est toujours propice à tout détruire. Côté dessin, le gang des Paco (Diaz et Medina) s'en sort très bien. Du côté de Mighty Thor, Jason Aaron a décidé d'offrir une sacrée avancée à son récit. Le seul bémol vient des dessins qui sont respectivement assurés par Russell Dauterman et Valerio Schiti. Chacun s'en sort très bien mais leur différence de style n'a pas été parfaitement placé pour que cela n'interpelle pas ou soit du à des rebondissements particuliers. Captain America: Sam Wilson présente les trois derniers épisodes menant à Secret Empire. Bien écrit et concluant les différentes trames narratives, Nick Spencer fait le taf. Et niveau visuel, on est gâté avec la présence de Paul Renaud ou de Daniel Acuña. Enfin, les Occupy Avengers de David Walker bénéficient du talent de Gabriel Hernandez Walta qui met en scène un épisode en dans un patelin où se trame certaines choses peu claires. Un premier numéro quivaut le coup !