L'histoire :
Ce numéro contient :
- U.S. Avengers (2017) (épisodes 6 et 7) : Rocket est conduit dans l'hyperespace sur ordre de Roberto Da Costa. Là-bas, il vient prêter mains fortes à Captain Marvel et autres Gardiens de la Galaxie contre les vagues de Chitauris qui veulent s'abattre sur Terre...
- Mighty Thor (2016) (épisode 21) : Volstagg a pu prendre en main le marteau perdu par l'Ultimate Thor, devenant à son tour l'héritier des pouvoirs du tonnerre, combattant ainsi les suppôts de Surtur...
- Captain America: Sam Wilson (2015) (épisodes 22 et 23) : Sam a abandonné le costume de Captain America que Steve Rogers lui avait confié. Pourtant lorsqu'il voit un petit Inhumain pris à parti par des sbires de l'Hydra, il ne peut rester de côté...
- Occupy Avengers (2017) (épisodes 6 et 7) : De passage à Dungston, Clint et ses amis comprennent vite que la ville est constituée d'une majeure partie de Skrulls...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ce n'est pas tous les que des super-héros débarquent à Paris ! Cette fois-ci, ce sont les U.S. Avengers qui se retrouvent près de la Tour Eiffel entourés par des membres de l'Hydra. Si la couverture ravira les lecteurs français, il faut signaler que la série le fait aussi. Le scénariste Al Ewing semble adorer les crossovers et autres events, ce dernier ne manquant jamais l'occasion de trouver un angle intéressant aux séries qu'il écrit. Paco Medina n'en finit plus de progresser et nous offre deux épisodes extrêmement bien dessinés. Jason Aaron continue sa quête d'excellence sur Mighty Thor avec la mise en avant de Volstagg mais aussi la suite des péripéties de Jan et Odinson. Valerio Schiti s'en sort très bien lui aussi. Nick Spencer a beau chapeauté Secret Empire et Captain America: Steve Rogers, il n'ouble pas les aventures de Sam Wilson, un héros meurtri par les derniers événements qu'il a vécu. Deux épisodes très sympathiques. Enfin, les Occupy Avengers sont probablement le titre le plus faible de la revue mais l'ensemble est suffisamment bien fait pour que l'on parcourt les pages sans déplaisir, les dessins de Gabriel Hernandez Walya y étant sûrement pour quelque chose. Un bon numéro !!!