L'histoire :
Ce numéro contient :
- All-New X-Men (épisode 36) : En voulant aider une jeune mutante, les X-Men ont été téléportés dans un monde inconnu où Spider-Man n'est pas Peter Parker mais un certain Miles Morales...
- Uncanny X-Men (vol.3) (épisode 29) : Afin de pouvoir canaliser Matthew Malloy, Magie se rend chez le Dr Strange. Le niveau Omega du mutant le rend effectivement très dangereux...
- X-Force (vol.4) (épisodes 7 et 8) : Croyant trouver un peu de répit après leur combat contre Volage, les X-Force apprennent que le Dr Nemesis a conservé le corps originel de Cable...
- Cyclops (vol.2) (épisode 7) : Cyclope a rejoint les Starjammers pour passer du temps avec Corsaire, son père. Mais lorsque des pirates accostent leur vaisseau, rien ne se passe comme prévu !
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
La revue consacrée aux séries X-Men alterne le bon et le moyen depuis plusieurs mois. Après les débuts en fanfare de Brian Michael Bendis sur All-New X-Men, il semble que le scénariste ait un peu de mal à retrouver la fraîcheur qui faisait tout le plaisir de lecture au départ. Après avoir envoyé les premiers X-Men dans l'univers actuel de la Maison aux idées, l'auteur continue de faire voyager ses héros dans l'univers Ultimate. Ce dernier étant déjà en pleine décrépitude, Bendis fait presque œuvre de charité avec un récit assez basique et qui n'a d'intérêt que de retrouver le sympathique Miles Morales. Mahmud Asrar fait quant à lui le job, même si la colorisation de Marte Gracia semble un peu sombre. Pour les Uncanny X-Men, Bendis a écrit un épisode plutôt basique mais dont le cliffhanger laisse un sérieux goût de « reviens-y vite » dans la tête. En plus, Chris Bachalo régale une fois encore. Les X-Force de Simon Spurrier et Rock-He Kim sont plutôt corrects, sans plus. Le visuel du coréen est très particulier et le nombre de calques informatiques est parfois impressionnant ! Enfin, la reprise de Cyclops par John Layman est assez sympathique. L'humour est très présent, les petites trouvailles narratives aussi. Javier Garron s'en sort très bien, même si on apprécierait que le dessinateur arrête un peu de se focaliser sur les gros plans qui sont très présents. En bref, du bon et du moyen ce mois-ci.