Pour beaucoup de lecteurs, Olivier Grenson est indissociable du personnage de Niklos Koda, le héros espion qui verse parfois dans l’ésotérisme, et qu’il anime depuis 1999 en compagnie de Jean Dufaux. Mais le dessinateur belge varie les plaisirs aux côtés de Denis Lapierre avec La femme accident, ou plus récemment en tant qu’auteur complet dans La douceur de l’enfer. A travers ce diptyque publié dans la prestigieuse collection Signé du Lombard, il évoque le sujet de la transmission et met en scène un coréen dans une quête initiatique de ses racines. Un bien joli boulot, qui nous a incité à re-rencontrer cet auteur éminemment sympathique !