L'histoire :
Krilin et Gohan ont invoqué le dragon sacré de Namek et les dragon balls sont donc redevenues inactives lorsque Freezer retrouve enfin le groupe. Apparemment, les membres du commando Ginyu sont morts et le tyran décide de s’occuper lui-même de ses adversaires. Tandis que le combat s’engage avec Vegeta, Piccolo vole du plus vite qu’il peut pour rejoindre le lieu du combat. Sur son chemin, il détecte une faible source d’énergie et s’arrête pour découvrir un namek ! Ce dernier lui propose alors de l’assimiler afin qu’il dispose de plus de puissance pour affronter Freezer. D’abord réticent, Piccolo finit par accepter et n’est pas déçu de sa décision : sa force a décuplé comme il ne l’aurait jamais imaginé ! Désormais sûr de pouvoir vaincre Freezer, il repart alors en direction des combats... Pendant ce temps, Vegeta tient bon mais Freezer s’amuse de son optimisme. Il lui raconte même comment il a tué son père le roi des saïyens et sa planète natale avant de se transformer et d’ainsi décupler sa puissance. D’un coup, Vegeta n’est plus du tout aussi optimiste ; même Piccolo s’inquiète de nouveau. Pour faire la démonstration de sa force, Freezer annonce qu’il va immédiatement tuer l’un d’eux...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Enfin le combat contre Freezer a commencé. Le premier volume de cette 3ème partie nous présente donc Krilin, Gohan, Végéta, puis Piccolo qui affrontent Freezer, ce dernier se transformant à plusieurs reprises jusqu’à atteindre sa forme ultime à la dernière page, tandis que Goku est toujours aux abonnés absents (mais il suit les combats de loin et attend impatiemment de pouvoir les rejoindre, selon le même ressort scénaristique habituel). Nous avons le droit à de nombreux rebondissements où, sans grande surprise, les puissances respectives de chacun font des bonds en avant, mais c’est finalement bien le méchant de l’histoire qui a le dernier mot pour le moment. L’avancée dans l’histoire et dans les années de production aidant, les screenshots utilisés pour cet anime comics, tiré donc du dessin animé, sont de bonne qualité et assez nets la plupart du temps (cet aspect se bonifiant de plus en plus au fur et à mesure des volumes depuis le début de la série), sauf à quelques petites exceptions près qui ne gênent néanmoins pas vraiment la lecture tant celle-ci se fait rapidement. Car les phases d’actions représentent bien évidemment la majeure partie des pages et, malgré le flashback sur la destruction de la planète Végéta et quelques commentaires et discussions des protagonistes, il n’y a pas énormément de dialogues. Les combats, s’ils montrent de nombreux rebondissements, ne sont pas pour autant très originaux à un ou deux passages près (et, étonnement, grâce à Krilin !), et on les qualifiera plutôt de linéaires. En dehors de la couleur, cette énième version n’apporte pas grand-chose à ceux qui ont déjà lu la version manga originelle (qui propose des graphismes plus détaillés), mais plaira tout de même aux plus jeunes qui n’auront pas forcément eu l’occasion de voir la série à la télévision autant de fois que leurs aînés.