L'histoire de la série :
Sena est un jeune lycéen plutôt chétif qui sert de larbin à ceux qui le briment. A force de faire des courses pour eux, il est devenu très rapide. C’est grâce à cette qualité qu’il va se faire remarquer par l’équipe de foot américain et l’intégrer un peu malgré lui.
L'histoire :
C’est l’équipe des Bando Spiders que Deimon va devoir affronter en petite finale. L’enjeu est capital puisqu’il s’agit là de la dernière chance pour les Devil Bats de pouvoir participer au tournoi du Kantô. Un membre de l’équipe adverse, Hayato Akaba, a déclaré être le vrai Eyeshield 21 et Sena cherche à savoir si cela est vrai. Suzuka et Monta ont alors une idée : suivre l’équipe des Kyoshin Poséidon pour interroger Kakei, le seul à connaître le vrai visage d’Eyeshield 21. En chemin, ils croisent Mamori qui se joint, malgré elle, à eux et leur filature les conduit aux bains publics. Malheureusement, ils n’arrivent pas à questionner Kakei et repartent bredouilles. Quelques temps après, l’heure du match tant attendu a sonné. Mamoru aperçoit l’Eyeshield de son équipe et lui demande pourquoi il ne va pas sur le terrain. Le joueur enlève son casque et la jeune fille constate avec stupéfaction que c’est Sena qui revêt l’uniforme d’Eyeshield. Au même moment, et pour la première fois, le joueur Sena Kobayashi est appelé et Mamoru comprend alors que Sena et Eyeshield sont une seule et même personne.
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Enfin, elle a compris !! Tel un Clark Kent annonçant à Loïs Lane qu’il est Superman, Sena avoue enfin à Mamoru qu’il est Eyeshield. II aura tout de même fallu attendre le dix-huitième tome mais cela veut dire qu’il a enfin pris confiance en lui et n’a plus besoin de se cacher derrière un masque. Si cette annonce risque de provoquer un bouleversement, il ne se passe pas grand-chose d’autre : le match de la petite finale vient juste de commence et le suspense n’a pas encore atteint son apogée. En tout cas, l’humour est au rendez-vous avec des concours de pose brushing/guitare et le passage aux bains public. A noter que ce dernier offre une toute petite dose de fan service. La qualité graphique ne fléchit pas et les planches bénéficient encore une fois d’un découpage original et très dynamique. Les personnages sont expressifs et leurs particularités physiques sont volontairement exagérées. Certes, les décors sont toujours aussi minimalistes mais ils n’en sont pas pour autant négligés. Ce nouveau volume reste sympathique et agréable et on guette le prochain volume avec une impatience non dissimulée. TOUCHDOWN !!!!