L'histoire :
Teito reste bouche bée devant la demoiselle qui se tient face à lui : cette dernière possède des ailes qui la font ressembler à un ange. En fait, il s’agit de son animal de compagnie qui est un fyulong mais qui, contrairement à Mikage, peut parler. D’ailleurs, la créature, Kururu, ne se fait pas prier pour faire usage de la parole et se montre désagréable avec Teito et Mikage. Aussi, la jeune fille, Mlle Oka, s’excuse pour son fyulong avant de partir. Plus tard, la demoiselle, s’interpose entre un usurier et un client de ce dernier. Le client n’ayant pas les moyens de rembourser ce qu’il a emprunté, l’usurier le menace de vendre ses organes. Pour Mlle Oka, cette idée est insupportable et elle commence à faire la leçon à l’usurier. Ce dernier n’apprécie pas l’insolence de la demoiselle et commence à s’en prendre à elle. C’est alors qu’arrive Teito...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Cette fois, Teito fait deux rencontres mouvementées dont une seule semble réellement utile. Cela commence avec une demoiselle, Mlle Oka : les deux jeunes gens se rencontrent dans la rue et ont à peine le temps de sympathiser qu’ils s’attirer les foudres d’un usurier. Puis, cela se poursuit avec un wars auquel vont devoir faire face les deux jeunes gens. Riche en action et en combats, le récit ne manque pas de rythme : à chaque fois, Teito doit se battre pour se défendre et aussi pour protéger Mlle Oka. Malheureusement, les scènes d’action ne sont pas le fort de la dessinatrice qui essaye de faire des effets de style mais produit surtout des planches confuses et parfois difficiles à suivre. Du coup, c’est d’un œil amorphe qu’on suit tout cela et l’ennui parvient sans peine à se faire une place. En fin de volume, l’auteur nous propose une demi-révélation qui rend le personnage de Mlle Oka un peu plus important. Toutefois, cette annonce n’est pas très convaincante et peu percutante, et son effet est donc raté. Exit donc la (relative) bonne surprise du précédent volume ; bon retour à la déception.
