L'histoire :
L’entreprise Kurosagi a toujours de quoi faire :
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Ces trois nouvelles histoires s’enchaînent de façon à nous offrir une progression croissante dans le glauque et le morbide. Ainsi, le premier chapitre, sous couvert d’un recrutement de nouveaux membres, nous présente de façon assez amusante le fonctionnement de l’entreprise Kurosagi, la deuxième nous montre une histoire de fiançailles funèbres aux dérives malsaines, tandis que la dernière est carrément une plongée dans l’infanticide. A chaque fois, les intrigues sont bien menées, quelques gags étant disséminés de-ci de-là, et il y a toujours au moins un des employés directement impliqué dans l’affaire. L’intrigue de fond ne progresse pas vraiment, il est vrai, mais on constate que les apparitions de Yaichi sont de plus en plus fréquentes et notre curiosité est toujours aussi vive. Hormis un découpage désespérément classique, les graphismes sont eux aussi de qualité : les décors sont fournis et nombreux, le tramage est abondant, et les personnages sont stylés et expressifs, sans parler du soin apporté aux morts. Ce huitième volume est l’un des meilleurs de la série à ce jour, pourvu que la suite le soit au moins autant…