L'histoire :
Ce numéro contient :
- Guardians of Nowhere (épisode 1) : À Nulle Part, une cité bâtie dans la tête d'un Céleste, Angela débarque dans un bar et interroge Drax. Elle recherche quelqu'un et elle est prête à tout pour obtenir des informations.
- Korvac Saga (épisode 1) : Les Gardiens interviennent de plus en plus ces derniers temps auprès d'individus visiblement fous mais qui disent tous avoir vu les étoiles disparaître...
- Infinity Gauntlet (2015) (épisode 1) : Anwen, son petit frère, son père et son grand-père tentent de survivre aux nombreux dangers qui parsèment ce monde ravagé. Des insectes géants se délectent des humains...
- 1602 : Witch Hunter Angela (épisode 1) : Dans le château de Windsor, Angela fait une entrée remarquée auprès du Roi Jacques. La chasseuse de sorcières reçoit comme nouvelle mission d'enquêter sur les meurtres de femmes...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
À l'instar des autres revues Marvel, celle consacrée aux Gardiens de la Galaxie n'échappe pas à la règle et voit son sommaire totalement chamboulé par le crossover Secret Wars. La revue s'ouvre tout d'abord sur Guardians of Nowhere, un récit de Brian Michael Bendis et dessiné par Mike Deodato Jr. La mise en bouche est agréable et l'on a déjà hâte de voir si les prochains épisodes auront autant de saveurs. Korvac Saga met en scène l'équipe des Gardiens version an 3000. Le résultat n'est pas franchement extraordinaire et les dessins d'Otto Schmidt sont assez particuliers. Infinity Gauntlet était l'un des crossovers les plus appréciés des lecteurs et, avec cette nouvelle version, ils risquent d'être un peu déstabilisés tant l'histoire est très différente. Celle-ci prend place sur une Terre post-apocalyptique et l'on y suit des survivants. Le scénario de Gerry Duggan et de Dustin Weaver, ce dernier assurant aussi les dessins et les couleurs avec un talent certain, est intéressant et c'est avec une curiosité accrue que l'on attendra les prochains chapitres. Enfin, 1602 : Witch Hunter Angela est une vraie curiosité. Le scénario est loin d'être fabuleux et certaines scènes sont même complètement ratées. Le visuel est assuré par Marguerite Sauvage (dont le style ne semble pas à sa place ici) et Stéphanie Hans (toujours très joli). Un premier numéro pour cette revue qui offre du bon et du moyen donc.