L'histoire de la série :
Alphonse et Edward Elric sont deux frères qui, depuis leur plus jeune âge, apprennent l’alchimie. Comme toute science, certaines pratiques sont interdites. Or, à la mort de leur mère, ils décident d’essayer de la ramener à la vie et le sort se retourne contre eux. Alphonse perd la vie tandis qu’Edward perd sa jambe, mais il refuse de perdre aussi son jeune frère et refait le sort où il échange alors son bras contre l’âme de son petit frère. Pour qu’Alphonse revive, son âme doit être rattachée à un corps, et le sien n’existe plus. En dernier recours, Edward la fixe à une armure présente dans la pièce. Malgré cet échec, ils ont pu apercevoir une créature qui n’était pas leur mère. Effondrés, les frères Elric vont mettre du temps à se remettre de cette expérience. Edward s’en veut de ne pas avoir réussi cette alchimie et va vouloir s’engager dans l’armée afin de bénéficier de moyens et de fonds importants pour mener des recherches et redonner son corps à son petit frère. Pour cela, ses membres perdus sont remplacés par des auto-mails, des prothèses entièrement en fer qui lui vaudront son surnom de Fullmetal Alchemist.
L'histoire :
Heinkel a neutralisé Kimblee et le tient à la gorge. Étonnamment, Selim hésite à attaquer, il ne semble pas avoir envie de blesser Kimblee. C'est alors que Yoki débarque en voiture pour sauver tout le monde : Heinkel, Al et Marcoh pénètrent dans le véhicule. Tous se dirigent alors vers Central City où ils espèrent rejoindre Edward. De son côté, Selim se moque quelque peu de Kimblee avant de l'ingurgiter. Quant au groupe de Mustang, il ne peut pas accéder au quartier général, il va falloir trouver un accès plus discret...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Les personnages convergent à Central City mais les retrouvailles auxquelles on assiste ne sont pas forcément portées par l'émotion. C'est en effet l'action qui domine tout du long, tout le monde se bat avec ferveur et quelques morts de personnages importants ont lieu. L'ambiance n'est pas joyeuse, mais elle communique bien sa tension, son énergie et le sentiment d'urgence. Visuellement, c'est tout aussi vigoureux que le scénario et on a le droit à quelques planches très impactantes. Très bien !