L'histoire :
Les enquêteurs du bureau de la police judiciaire soupçonnaient Shô d’être Akumetsu et ont donc organisé sous les caméras des journalistes une perquisition du domicile du garçon. Hélas, ils n’ont absolument rien trouvé et sont humiliés publiquement puisque les médias les montrent en train de ranger les sous-vêtements de Shô. Une fois seul, Shô s’empresse d’appeler Hazaya pour rigoler avec lui de cette affaire. Néanmoins, cela ne dure pas longtemps car un travail important les attends : le faux Akumetsu a tué un innocent et il n’est pas question de laisser passer cela. De son côté, la procureur a remarqué qu’Akumetsu s’en prend à une liste de suspects de fraude qu’elle a elle-même dressée mais qu’il ne devrait pas connaître et trouve cela très étonnant...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Pendant que les politiques se chamaillent et que la procureur mène ses investigations, Akumetsu se charge de retrouver lui-même son usurpateur d’identité. Il faut dire que là où Akumetsu élimine de manière directe des pourris en sacrifiant un membre du groupe pour ses idées, les imitateurs ne sont quant à eux pas prêts aux sacrifices et font en plus une très mauvaise publicité pour le justicier masqué. Les choses ne vont pas traîner puisqu’on découvre qui est le coupable du meurtre d’un innocent sous la fausse identité d’Akumetsu, cet individu devant alors faire face à Shô mais aussi à ses actes et à sa lâcheté. Comme d’habitude, l’action est de rigueur et les amateurs de subtilité peuvent passer leur chemin : ici, on emploie les grands moyens, et plus c’est fracassant, mieux c’est ! Même si tout cela dure en longueur, les nombreuses scènes d’action offrent beaucoup de rythme au volume et permettent d’éviter les ennuis. De fait, on passe un bon moment et on guette la suite avec une grande impatience.