L'histoire :
En orbite de la Terre, un vaisseau extraterrestre approche. Ses habitants envoient tout d’abord un module de reconnaissance qui leur transmet des images. Malgré quelques étrangetés, ils décident d’envahir cette planète à la technologie inférieure, mais c’était sans compter l’espièglerie d’Arale...
L’auteur appelle Senbeï pour lui signaler que mademoiselle Yamabuki est tombée malade. Une fois à l’hôpital, le médecin est formel : on ne peut plus rien faire car un dangereux moustique se balade dans le corps de la jeune femme. Pour le débusquer, il faudrait se rendre directement dans le corps et, pour cela, il faudrait être vraiment tout petit. Gatchan a justement retrouvé le pistolet mini-maousse et a rétréci Arale et le docteur cela tombe bien ...
Pour se débarrasser des taches ménagères, Senbeï essaye tout d’abord de les refiler à Arale et Gatchan, mais ceux-là n’ont pas tout à fait le même sens commun que lui. Du coup, il a une idée de génie : fabriquer un robot femme de ménage. Mais, comme d’habitude, cette invention ne va pas vraiment se comporter comme prévu...
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Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Comme d’habitude, Akira Toriyama enchaîne les chapitres aux histoires variées et aux thèmes (presque) toujours différents (sauf quand l’auteur ressort de son chapeau de vieilles inventions et qu’il se moque lui-même de son manque d’inspiration). Au programme de ce 6ème opus : une version Slump de Cendrillon, une version moyenâgeuse de Slump, des extraterrestres en tenue d’écolier, un samouraï poseur, un 80ème anniversaire de la série anticipé de 78 ans et deux mois... Bref, comme d’habitude, l’auteur fait n’importe quoi pour nous amuser, même si ces épisodes ne sont pas vraiment les meilleurs de la série. A part quelques chapitres bien sentis, la plupart amuseront surtout les plus jeunes lecteurs et un peu moins les autres. C’est graphiquement que l’auteur s’en donne par contre à cœur joie et trouve toujours de bonnes idées pour agrémenter ses scénarios (petites inventions amusantes, idées improbables, grimaces impayables...). Un volume sympa, mais sans plus, somme toute.
