L'histoire :
Au sommaire de ce numéro (kiosque) :
- Spawn #190 - 191 : End Game, part 6 & 7 (Fin de Partie, partie 6 et 7) : Al Simmons s'est supprimé, pour se libérer de sa maudite condition de Hellspawn. Mais son symbiote a aussitôt choisi un nouvel hôte en la personne de Jim Downing. Sorti brutalement de son coma, il est frappé d'amnésie. Il ne comprend pas les premières manifestations de sa métamorphose en Spawn. Submergé par l'essence chaotique qui l'envahit, il croise deux gangs en pleine fusillade et fait un carnage. Le genre de grabuge qui a vite fait d'attirer Sam et Twitch, les deux flics qui en connaissent long sur les histoires de Forces du Mal...
- Spawn : Book of the dead (Le Livre des Morts) : En des temps sombres engendrant des âmes noires, deux océans humains d'épées et de boucliers levés s'abiment l'un contre l'autre telle des lames de fonds. Deux armées qui se rencontrent sous le regard du Destin...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Tous les compteurs ont été remis à zéro depuis quelques numéros et après un vrai bon nouveau départ, ça s'accélère à nouveau. Jim Downing réalise qu'il a pas mal de monde aux trousses et l'atmosphère de l'épisode empeste la paranoïa. Si Wanda, la femme du défunt Spawn Al Simmons, apparait le temps d'un dialogue, c'est bel et bien Sam et Twitch qui reviennent au devant de l'affiche. Et c'est avec le cliffhanger qu'on sait que le chapitre suivant va peser son pesant de castagne. Le tandem Capullo/Portacio (excusez du peu) s'éclate et nous délivre du grand spectacle, parfaitement rythmé et maîtrisé. Nouveau cliffhanger énorme. On passe après au Livre des Morts, un récit que McFarlane a couché sur le papier, comme une légende épique de la malédiction des Spawn. Ceux qui ont lu Spawn : The Dark Ages y retrouveront avec plaisir le combat entre Lord Convenant contre Guy Dublanc et le Baron Rivalen. Un récit épique, illustré par l'auteur idoine : Ashley Wood. Ses compositions sont juste monstrueuses ! Ajoutons une preview de Haunt, au casting alléchant d'auteurs prestigieux, et on referme ce magasine en pensant vivement le suivant !