L'histoire :
Au royaume d’Eris, le chevalier d’or rebelle Saga qui sert de réceptacle au dieu de la guerre Arès, lance une attaque contre Athéna inconsciente et prisonnière, afin d’en finir une bonne fois pour toutes. Soudain, Athéna reprend conscience et bloque son attaque grâce au pouvoir de protection de Nikè, déesse de la victoire alliée d’Athéna dont l’égide se matérialise pour la protéger. Puis Athéna frappe de plein fouet Saga afin de l’endormir et libérer son corps de l’âme du dieu maléfique... De leur côté, les Saintia viennent d’arriver et font face à des dryades. Xiao-Ling et Elda se retrouvent coincées dans la toile de Phonos du meurtre, la dryade des abysses. Le chevalier d’or Milo l’avait vaincu, mais tant que l’âme d’une dryade n’est pas détruite, Eris peut leur redonner un corps. Les deux Saintia attaquent la dryade tour à tour, mais aucun de leurs coups ne porte, tandis que Phonos fait preuve d’une puissance qui les projette à terre. Les deux Saintia décident alors d’unir leur force pour le vaincre. Malheureusement, même cela ne suffit pas. C’est alors que les rejoignent Mii et Katya. Seulement, la situation empire lorsqu’elle se retrouvent face au chevalier d’or renégat du Cancer...
Ce qu'on en pense sur la planète BD :
Finit les tergiversations dans ce onzième opus, où on assiste à des affrontements divins et à des combats de Saintia face à des dryades et des chevaliers d’or. On a également le droit à quelques flash-backs intéressants, ainsi qu’à quelques révélations, bref le programme est chargé. On ne s’ennuie pas un instant, et on apprécie que les combats soient un peu plus développés cette fois. Quelques rebondissements terminent de compléter le tableau de ce volume presque 100% action. Comme toujours, les planches sont très travaillées avec énormément de tramage numérique et d’effets en tout genre, et un découpage particulièrement recherché. Pas de doute, c’est du bel ouvrage qui contentera les fans de la série et de la licence Saint Seiya au sens large (ce qui n’a pas forcément toujours été aussi évident dans les volumes précédents). On attend la suite, qu’on espère aussi intense.